Maladroit et idiot, je me perds dans ton âme
Dans les fleurs où tu es devenu une femme
Tes amantes me guettent de haut de leur sommet
Jalouse de toutes les faveurs que tu m'as fait
Les arbres fleuris me protègent de la pluie
En me laissant un rayon du soleil qui luit
Je veux marcher pied nu dans les herbes folles
Me détendre des heures dans la mousse molle
Aujourd'hui je fuis l'homme dans toute sa splendeur
Peut-être qu'ainsi je m'éteindrais avant l'heure
Je saigne comme les arbres et leur sève
Puisque ceci est la couleur de mes rêves
Dans les fleurs où tu es devenu une femme
Tes amantes me guettent de haut de leur sommet
Jalouse de toutes les faveurs que tu m'as fait
Les arbres fleuris me protègent de la pluie
En me laissant un rayon du soleil qui luit
Quand le noir et le froid m'emportent encore une fois
Quand l'hiver blanc prend place sans en avoir le droit
Je m'échappe enfin, un couteau dans la poche
Et m'arrête regarder les lacs sur les roches
Je profite de toi dans la fougue et la passion
Pour qu'un instant nous oublions les saisons
Je veux marcher pied nu dans les herbes folles
Me détendre des heures dans la mousse molle
Aujourd'hui je fuis l'homme dans toute sa splendeur
Peut-être qu'ainsi je m'éteindrais avant l'heure
Je saigne comme les arbres et leur sève
Puisque ceci est la couleur de mes rêves
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