Cette passion -si enivrante- née du désir.
Seulement ni toi ni moi ne pouvons choisir ;
Nous n'avons plus le loisir de nous éteindre,
Nous n'avons plus le plaisir de nous étreindre.
Car tu me disais tout bas je t'aime,
Et que je voulait le crier sur les toits !
Puisqu'à la fin notre amour était blême ;
Ayant perdu la fougue de nos premiers mois.
Les mois où tu m'offrais ton corps blanc et fragile ;
Que je m'y engouffrais sans veines attentes ;
Je le frôlais de mes lèvres impatientes,
Et respirais ses effluves subtiles.
L'affront de l'amour que l'on ne se portait plus,
Nous mènera au désespoir de la souffrance.
Je quitterais cette vie qui ne m'appartient plus,
Pour partir là où me conduira la chance.
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