Quand les montagnes se dénudent
Et que les fleuves sont en crue
Quand le vent calme s'entête
Et que la terre se dérobe
La grande passion des hommes
Tombe, s'accable et périt
Dans leur insoupçonnables peurs,
Qui sont lâches et incontrôlées
Ainsi les esprits solidaires
Laissent mourir l'enfant perdu
Qui pleure seul dans les ruines
Des bâtiments de son passé
De son passé si embellit
Par une belle fleur d'été
Qu'un jour, l'homme lui tendit,
L'homme aux semelles de vent.
Et que les fleuves sont en crue
Quand le vent calme s'entête
Et que la terre se dérobe
La grande passion des hommes
Tombe, s'accable et périt
Dans leur insoupçonnables peurs,
Qui sont lâches et incontrôlées
Ainsi les esprits solidaires
Laissent mourir l'enfant perdu
Qui pleure seul dans les ruines
Des bâtiments de son passé
De son passé si embellit
Par une belle fleur d'été
Qu'un jour, l'homme lui tendit,
L'homme aux semelles de vent.
Arthur
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